Entre le pouce et l’index je saisis une noix. Délicatement je la pose sur la table. La noix tient en équilibre. Je soulève mon marteau. Et je pense à tous ces imposteurs qui exhibent leurs cerneaux sans jamais nous montrer la coquille, et paf, et paf, et paf, disait l’écrivain qui cassait des noix.